Le Suishō Reikidō® est autant une voie de Développement Personnel (des capacités humaines et spirituelles), qu’une méthode de Thérapie bioénergétique
Le Suishō Reikidō® permet de cultiver l’immunité, la santé et le bien-être holistiques. Car cette voie qu’est le Suishō Reikihō ou Suishō Reikijutsu œuvre par la maîtrise de l’équilibre et de l’affluence du Reiki/Ki (l’Énergie Vitale) en l’Être vivant.
La Santé holistique et le Bien-Être holistique sont intimement liés et dépendent l’un de l’autre (voir plus de détails ci-dessous). En conséquence, le Suishō Reikidō® est autant une Voie de Développement Personnel que de Thérapie Bioénergétique.
Le lien entre Thérapie bioénergétique et Développement Personnel
Un objectif commun avec des niveaux de réalisation différents
En définitive, cultiver le Développement Personnel et utiliser la Thérapie bioénergétique sont deux actions qui sont intimement liées. Ceci, bien qu’ils œuvrent à des niveaux différents de l’équilibre vital, et visent ainsi des objectifs distincts.
Cette constatation part du principe que toute pathologie (« mal-a-dit ») ou tout accident propose un processus d’évolution, comme toute épreuve du chemin de vie.
Cela corrobore également la prise en considération de l’Approche de Platon et des Médecines orientales. Platon disait que « pour guérir le corps il est indispensable de soigner d’abord la tête ». C’est aussi un des préceptes du Reikihō traditionnel.
En Bioénergétique et Coaching holistique, la distinction entre Développement Personnel et Thérapie est parfois très fine
La différence est subtile, du fait que, par exemple, aider quelqu’un à changer de comportement peut avoir plusieurs conséquences. Cela peut l’amener autant à guérir ses maux physiques ou psychiques, tout en opérant un développement personnel.
Cette différence se distingue généralement par le niveau de difficulté de l’épreuve, que le changement nécessaire exige. La différence porte donc sur l’importance du déséquilibre ou de la disharmonie à résoudre. Par exemple, une maladie invalidante, même temporairement, pourra parfois être plus difficile à vivre qu’un léger état dépressif.
Bien que cela soit très relatif. Car un temps de doute et de remise en question de soi-même peut aussi être très déstabilisant. Par exemple, lorsqu’il s’étend intensément sur une durée indéfinie et avec récurrence. je pense notamment à l’étape d’évolution dite « la nuit noire de l’Âme ».
Conséquemment, cette prévalence de la pathologie ou de l’infirmité, sur les états intérieurs et psychiques, n’est pas une constante. Car parfois les états intérieurs perturbés peuvent instiller un « enfer intérieur » tout aussi éprouvant, sinon plus.
Tout dépend entièrement de l’ampleur des transformations internes et externes à accomplir, pour retrouver la Santé et le Bien-Être holistiques.
Les champs d’action du Suishō Reikihō
Le Suishō Reikihō établit le lien entre le corps, le Cœur, l’esprit et l’Âme. C’est une des raisons pour laquelle le Suishō Reikihō est une méthode thérapeutique qui permet de traiter quasiment tous les déséquilibres, dysharmonies et affections.
Parmi les exceptions figurent les cas d’urgence, telles que les hémorragies externes et les fractures ouvertes ou avec déplacement. Bien que l’e traitement’intervention de soutien soit tout de même possible dans ces cas là.
Le Suishō Reikihō peut accompagner avec une grande efficacité les opérations chirurgicales, les traitements au rayons X, de chimiothérapie, allopathiques, psycho-thérapeutiques, et toute autre acte de naturopathie.
Le Reiki accélère les temps :
- de retour à l’équilibre homéostasique,
- de cicatrisation,
- de régénération cellulaire et neuronale.
Un fort afflux de Reiki raccourcit donc les temps de convalescence et de récupération ; tout en optimisant les processus physiologiques naturels.
Il réduit aussi avec grand succès les états de douleurs, même ceux que la chimie pharmaceutique ne parvient pas à résoudre.
Il nettoie et purifie l’organisme de tout élément perturbant son harmonie, nocif et potentiellement pathogène. Je pense notamment aux toxines de toutes sortes, ainsi qu’aux contenus des injections de l’expérience génique à ciel ouvert, nommées abusivement de « vax…hein? ».
Le Suishō Reikidō® ne connaît aucune limite dans l’accompagnement du soin
Qu’il s’agisse de résoudre des dysfonctionnements générant des pathologies ou des psychopathologies s’exprimant de façon symptomatique, le Reiki réorganise et rééquilibre toute dysharmonie. Il ré-initialise les fonctionnements originels et harmonieux de la Vie.
Le Suishō Reikidō® est une voie d’utilisation de cette Énergie Vitale ou force bioénergétique gérant les niveaux subatomiques de la manifestation. La méthode et approche de thérapie bioénergétique qu’il propose, acte donc en amont absolu de la matière. Cette action dans l’infiniment petit détermine la façon dont la matière est générée et ainsi sa qualité. En aval de ce niveau d’ouvrage, se trouvent les dimensions cellulaire, physiologique et neuronale.
Aussi, cette approche agit merveilleusement bien en tant qu’action préventive. Par anticipation, elle peut désamorcer et résoudre les pathologies potentielles mais latentes, encore non exprimées par les symptômes. Cela permet le traitement précoce des potentialités pathologiques.
Du point de vue subatomique et bioénergétique, « tout est très simple »
C’est l’entretien et le maintien de l’équilibre bioénergétique qui assure globalement une immunité, une santé et un bien-être holistiques à toutes épreuves.
Le « point central » et originel est donc là, dans l’infiniment petit, en amont de toute manifestation physique du Vivant. À ce niveau, soit l’environnement est équilibré, harmonieux et stable ; soit il ne l’est pas. Dans ce dernier cas, des failles dans la construction ou l’expansion du Vivant peuvent susciter des problèmes prévisibles.
Équilibrer l’afflux de Reiki restaure et maintient l’état d’équilibre naturel et originel de la Vie. De là découle la puissance de l’homéostasie, cette intelligence naturelle du Vivant. Elle est destinée à préserver, nourrir, développer et protéger l’équilibre de la Vie sous tous ses aspects.
L’Harmonie par l’équilibre est une loi innée des processus manifestés de la Vie
Dans le Cosmos, la Loi de l’Équilibre est une loi immuable. Tel un pendule retrouvant toujours sa station absolument verticale, le Reiki œuvre au rétablissement de l’équilibre parfait des Lois du Vivant.
Le Suishō Reikidō® œuvre donc comme une permaculture de la Vie, en assistant la Nature dans son expression la plus harmonieuse et saine. Sa visée est de restaurer et de rétablir la souveraineté de l’autonomie parfaite des états originels naturels.
L’Intelligence de l’Énergie Vitale Cosmique
L’intelligence de l’Énergie vitale cosmique (le Reiki) dépasse tout entendement intellectuel. Tout ce qu’on peut en dire peut se résumer à « Elle Est ».
Néanmoins, bien qu’étant d’une complexité infinie, dès qu’on s’aligne et s’accorde au Reiki, son utilisation pratique et en conscience devient extrêmement simple. Issu de l’Intelligence de l’Univers, la Supra-conscience unifié de l’Unicité, le Reiki est une Force de Vie au-delà des paradoxes de la dualité.
Le Reiki est au-delà du temps et de l’espace. La seule condition pour y accéder est d’élever notre niveau de fréquence vibratoire en conséquence. Non pour l’atteindre. Car « Il Est déjà là », Ici et Maintenant à chaque instant, de manière incessante et constante, entièrement disponible, en nous et tout autour de nous. Mais pour s’y connecter et s’ouvrir pleinement à « son accueil » ou à sa réception/canalisation.
Reiki, Énergie Vitale de Lumière et Information subtile
Tous les Centres d’Énergie Vitale (Reiki ou Ki) principaux (Çakras) et secondaires (Nadīs ou Méridiens) du corps sont automatiquement et naturellement équilibrés par l’action des Photons que le Reiki transporte.
Les photons sont les particules subatomique de la Lumière cosmique. La Lumière est à la fois Énergie, Information et Amour inconditionnel du Tout. Elle est le véhicule, et l’apparence de l’Information émise en permanence par l’Intelligence Cosmique, dont les photons sont les facteurs.
D’où la pertinence et l’efficacité des pratiques du Suishō Reikidō®, en ce qui concerne le fait de cultiver l’Immunité du Corps, du Cœur et de l’Esprit ; et ainsi la Santé et le Bien-Être holistiques. Car la Voie du Suishō Reikihō cultive et développe en conscience et fondamentalement ce lien indéfectible et interactif à l’Intelligence Cosmique et à Son Énergie de Vie.
Développons plus en détails ce Principe d’homéostasie en rapport direct avec le Reiki ou Ki, l’Énergie Vitale Universelle ou Cosmique.
L’activité permanente du Reiki pour assurer l’Harmonie de Vie
Le lien entre l’afflux abondant, régulier et fluide du Reiki et l’harmonie de la Vie
Le Reiki crée, soutient, développe, et transforme toute manifestation des Règnes du Vivant.
Nous sommes tels des poissons dans un océan de Ki ou Reiki. Il est autant en nous que tout autour de nous. Et sans Reiki, il n’y a aucune vie possible. Puisqu’il orchestre et régule en permanence la cohésion et l’harmonie de la Manifestation.
Sans Reiki il n’y aurait pas même de vide cosmique, nommé « vacuum ».
En réalité, ce « vacuum » est un « plenuum » emplit d’énergie hyper-compressée. L’activité des particules y est incessante et d’une violence inouïe. La Métaphysique ou Physique quantique a prouvé que « ce qui permet la cohésion et la stabilité de la matière, c’est la gigantesque pression qu’opère le vide, en elle et tout autour ».
Le Reiki équilibre et stabilise la force de la Vie en tout organisme vivant
Le Reiki assure l’équilibre, la stabilité et la force de la Vie en tout organisme vivant. Pour « sécuriser » cet équilibre, il renforce et blinde les fonctions immunitaires.
Cette différence d’irrigation et d’afflux de Reiki, explique pourquoi certains succomberont à un virus alors que d’autres non. Car le Reiki, c’est la Force Vitale. Plus il afflux en nous et moins nous sommes sujets aux maladies, quel qu’elles soient.
Au Japon, les termes Tsuyoki et Yowaki sont utilisés. Ils servent à distinguer la force d’afflux du Reiki, et de la circulation du Ki (le Reiki personnifié).
Ainsi, un être vivant abondamment irrigué de Reiki, est un être « Tsuyoki » (« au Ki fort », comme disent les Japonais). Il est plein de vitalité, son immunité est forte en conséquence. Il est naturellement capable de se protéger contre toute agression tendant à déséquilibrer cette harmonie de vie en lui.
À l’inverse, un être vivant avec un faible afflux de Reiki est « Yowaki » (« au Ki faible », en Japonais). Son équilibre bioénergétique est donc susceptible d’être déstabilisé et désorganisé à la moindre agression de l’organisme. Il est sujet à des états de santé fragiles et facilement perturbés, avec une faible vitalité.
L’immunité, synonyme de préservation de la santé holistique
L’immunité est la gardienne de l’équilibre du fonctionnement de la Vie. Elle est le rempart nous protégeant des dysharmonies dues aux déséquilibres fonctionnels de notre organisme.
Avoir une faible immunité, c’est s’exposer à toutes sortes de dysfonctionnements potentiellement pathologiques, sans pouvoir s’en prémunir. La santé holistique passe inévitablement par une immunité renforcée.
La santé holistique, synonyme de bien-être holistique
Comment vivre le bien-être dans des états de santé défectueux ? Et l’état de santé, peut-il perdurer si l’état de bien-être est miné ? La paix du corps est le prémisse à la paix du Cœur et de l’esprit, et vice versa.
Au niveau de la fréquence vibratoire du Reiki, Énergie de l’Unicité, Corps, Cœur, Esprit et Âme ne sont pas séparés
Pour le Reiki, il n’y a pas de séparation entre les trois. Il n’y en a pas non plus entre matière et esprit, ni entre visible et invisible.
Les différentes dimensions de l’Être humain (formalisées par le corps physique et l’Aura) sont toutes unies tel des vases communicants. L’information transite entre tous ces niveaux.
La séparation que l’on peut concevoir entre ces différents états de manifestation, ou dimensions d’existence, n’est qu’une représentation mentale.
La vision et perception de Platon
Comme le disait Platon, pour pouvoir traiter le corps avec succès, il est nécessaire de traiter d’abord la tête.
Les médecines orientales et autochtones ont cette même perception de l’interaction permanente entre les dimensions d’existence. Ce qui détermine ces différents niveaux de manifestation, c’est leur fréquence vibratoire. Comme l’a dit A. Einstein, « Tout n’est que vibration ».
Lorsque le corps est malade, le cœur et la tête ne peuvent être sereins ; et vice versa. La santé holistique est donc liée directement à l’état de bien-être holistique, et inversement, comme nous l’avons vu plus haut.
Purifier le corps, le cœur et l’esprit, en réalignant et ré-équilibrant l’afflux de Reiki dans notre être, apporte la paix, le bien-être et la santé.
L’enseignement du Yoga, Voie de l’Union
Dans le Yoga il est dit « nettoyer les 5 Éléments de notre système, pour assurer leur intégrité et cohésion optimale ».
Le Prānayama (pratiques et techniques respiratoires d’absorption du Prāna) assure ce « nettoyage » ou purification interne. Ce que le Prāna accomplit, le Reiki l’accomplit aussi.
Ce qui diffère, c’est uniquement le nom donné à cette même Énergie Vitale. Cela ne change strictement en rien l’Essence de cette Énergie Cosmique.
Une fois qu’on est « aligné » avec la Conscience supérieure, tout s’ajuste en conséquence dans l’équilibre parfait, dans toutes les dimensions d’existence de notre Être.
Les causes des perturbations, entraves et blocages de l’afflux harmonieux du Reiki
Tout frein, plus ou moins important à l’afflux abondant, fluide et régulier du Reiki impacte tôt ou tard l’équilibre de la Vie.
Les multiples causes de l’affaiblissement de l’immunité du corps, du cœur et de l’esprit
Les causes de l’ordre des dimensions physiques
- causes physiologiques : un excès ou des « mauvaises » bactéries ; les virus ; les poisons -tels les métaux lourds ou les substances chimiques par exemple-. Ces causes pathologiques sont véhiculées via l’eau, l’air, les productions industrielles comme l’agro-alimentaire, la pharmacopée allopathique produite par « Big Pharma », l’industrie pharmaceutique.
- causes technologiques : les ondes de basses fréquences (électricité) et de hautes fréquences (wifi, réseaux téléphoniques, micro-ondes, système HARP, …) ; la nanotechnologie.
- causes particulières des injections nommées trompeusement « vax-hein? », qui cumulent à elles seules les causes d’origines chimiques, virales et nanotechnologiques, voire aussi bactériologiques.
- causes neurologiques, liées à différentes origines et facteurs causaux : technologiques (ondes hautes fréquences, comme Harp, la 5G, etc) et psychologiques (sur-activité mentale, « ruminations mentales », manipulation médiatique de masse pour cultiver la peur, par exemple). Ces causes neurologiques impactent l’équilibre du fonctionnement du système nerveux, et affectent les capacités sensorielles et cognitives. Elles induisent et activent des programmations subconscientes à distance, à l’insu des populations.
Les causes de l’ordre des dimensions subtiles
- calcification des glandes pinéale et pituitaire (épiphyse et hypophyse), ce qui génère une coupure du lien au Soi, et donc à l’Intelligence de l’Univers. À la base, cette calcification a un impact neurologique et bioénergétique. Elle est produite tant par les causes physiologiques, technologiques que neurologiques.
- parasitages et perturbations des champs auriques (du corps éthérique aux corps subtils dits aussi « spirituels »).
- inductions environnantes ou distantes de peurs, croyances et programmations comportementales conditionnées (égrégores, inconscient collectif et forces occultes dominatrices).
- vampirisation énergétique, par l’absorption de l’attention, de l’énergie vitale, mentale ou émotionnelle ; les implants éthérés ; les entités de basses fréquences vibratoires (éthérées ou invisibles).
Bien qu’une distinction entre les causes physiques et les causes subtiles soit ici exposée, en définitive tout est lié. Cette distinction permet seulement d’avoir quelques points de discernement. Mais les causes et les effets de ces champs d’influence et de causalité s’imbriquent les uns dans les autres. Ils interagissent en permanence.
Les pratiques à intégrer comme une hygiène de vie holistique, pour préserver immunité, santé et bien-être holistiques
Cette notion d’Hygiénisme allant jusqu’à l’hygiène bioénergétique, est capitale en ces temps d’avènement du Nouveau Paradigme.
En résumé, l’hygiénisme est un courant de pensée qui met en avant l’importance de l’hygiène pour la santé humaine. L’hygiénisme propose des pratiques et des techniques pour améliorer et cultiver la santé physique, émotionnelle, mentale et spirituelle. On peut rajouter aussi « pour entretenir la santé énergétique », dont tous les autres états dépendent.
Les comportements personnels tendent, et vont tendre de plus en plus vers ce retour à l’Autonomie, concernant l’entretien de la Santé holistique. Cette notion d’autonomie inclut aussi la vie au naturel et en harmonie avec Mère Nature. Les consciences s’élèvent en résonance aux fréquences vibratoires de la Mère Terre (cf. Résonance de Schumann), elle-même en résonance aux fréquences vibratoires cosmiques.
À terme, beaucoup intègreront des compétences de thérapeutes, pour satisfaire cette quête d’autonomie de la santé. Cela est déjà en cours de réalisation, afin de combler ce besoin à la fois sociétal, économique et surtout humain. Avec l’ouverture de conscience collective, suite aux prises de conscience, les humains souhaitent retrouver leur liberté d’être. On peut aussi dire qu’après avoir compris qu’on les avait mis dans un enclos, ils œuvrent à en sortir.
Le lien à la Nature, développant le lien à soi, au Soi et à l’environnement vivant au-delà des frontières
Le terme « Mère Nature » n’est pas anodin. Il exprime la réalité.
Les religions l’ont explicité par : « l’Homme a un corps sorti de la fange/le sol humide, et Dieu lui a insufflé son intelligence ». « Son intelligence » signifie « sa conscience éternelle, son âme, fractale de la Supra-conscience de l’Un ».
Notre corps est fait d’Eau et de Sels minéraux. Il est constitué d’organismes vivants, comme toute vie animale ou végétale dans la Nature. Tous ces éléments sont ceux que notre Mère la Terre nous a donné, pour constituer ce corps, notre « véhicule de matière ».
De plus, la Mère Terre (elle-même un être vivant), purifie et régule nos fonctions bioénergétiques, neurologiques et physiologiques. Elle nous donne la vie, ce qui nous nourrit et ce qui nous guérit. Elle prend soin de nous et nous offre tout ce qui nous est nécessaire, avec une infinie compassion et une immense patience.
C’est pour ces raisons qu’il est si important de passer du temps pour se ressourcer dans un environnement naturel et calme. Car nous y entrons en résonance en nous « reconnectant » avec notre Mère Terre. Son contact, son intime proximité, régénère l’homéostasie et l’harmonie de la Vie en nous.
Les pratiques bioénergétiques, ou dites « psycho-corporelles » en Occident
Les cultures anciennes et l’Occident actuel
Ces pratiques, connues de tous temps, visent à cultiver l’unification corps-cœur-esprit ainsi que la bonne circulation de l’Énergie Vitale Cosmique. On peut citer par exemple, hormis le Suishō Reikidō®, le Yoga (« Union » en Sanskrit), le Qi/Chi Kong, le Tai Chi Quan/Chuan, les Arts du Budō (Arts martiaux japonais), parmi de nombreuses autres voies.
Dans toutes les cultures du monde, l’Énergie Vitale est connue, et depuis des temps très anciens. En Inde c’est le « Prāna », en Chine le « Qi ou Chi », au Japon le « Ki ou Reiki, Shinki ou encore Reishi », en Polynésie c’est le « Mana », en Afrique et à Cuba c’est « Ashé » (cultures Yoruba et d’autres subsahariennes), entre autres.
Il est à noter que dans les cultures non occidentales, les dimensions physiques et spirituelles ne sont généralement pas séparées l’une de l’autre. C’est ce qui leur garantit une certaine idée de l’union des polarité ou de l’Unicité. On retrouve cette approche notamment dans les médecines traditionnelles liées aux croyances et religions autochtones, souvent de socle chamanique. A contrario, ce n’est pas souvent le cas dans la culture occidentale, très analytique et mentale.
Par exemple, le terme « psycho-corporel » dévoile une division entre corps et esprit. On peut aussi y déceler une limitation des aspects de « l’esprit » à un concept mental ou intellectuel, par le mot « psycho ». Mais le mental n’est pas, et ne peut pas être, ce qui est nommé généralement « esprit » dans d’autres cultures. Ailleurs qu’en Occident, le terme « esprit » tient plus du rapport à l’âme ou au Soi, plutôt qu’au mental auquel l’ego s’identifie.
L’approche limitante, limitée, superficielle et à transcender de la culture occidentale
Cette différence capitale est une des causes majeures des dérives ou corruptions des savoirs non-occidentaux acquis superficiellement, par mauvaise compréhension .
En effet, nombreux sont celles et ceux qui (se) confondent (dans) le discours mental, du Moi ou Ego, avec le murmure de l’Âme ou Soi. Cela touche même ce qui est nommé « Spiritualité », domaine où se développent moult « ego spirituels ».
Pourtant ce discernement entre Moi et Soi est si important à développer. Car c’est le point de départ pour pouvoir suivre une voie de développement personnel et spirituel, véritable et authentique.
La culture occidentale a généré, dans et par ce qu’elle a appelé « la Croissance » ou « le Progrès », une superficialité de perception. Cette superficialité est un courant de pensée, qui la limite dans l’entendement des profondeurs de l’Inconnu. Cette manie limitante est venue s’ajouter à son arrogance et son complexe de supériorité sur les peuples autochtones, hérités de son passé colonialiste et esclavagiste. Cela représente de sombres valeurs très favorables à maintenir un peuple dans l’ignorance de la 3D.
La Spiritualité ne peut pas être une notion dissociée de la Matière, sauf pour le mental dissecteur
En définitive, dans la vision unifiée de l’Unicité, tout est spirituel. Car même la Matière est la manifestation de l’Esprit. Le visible surgit et retourne à l’Invisible, de façon cyclique.
Les peuples autochtones n’ont généralement pas perdu ce sens du sacré. Ils ont préservé cette compréhension de la Vie, car ils sont restés unis à la Nature. Ils ont su ainsi préserver les savoirs anciens. Comme celui de l’importance vitale et capitale de l’entretien de l’équilibre et de harmonie dans leur rapport avec la Nature. Car ils sont restés conscients qu’ils en dépendent entièrement, car les humains sont de la Nature.
Étant unis et non séparés de la Nature, ils ne peuvent pas prétendre pouvoir lui manquer de respect, et la maîtriser pour l’asservir. Sans quoi, ils se manqueraient à eux même de respect, et finiraient ainsi par s’auto-détruire. Ils savent en conscience à quel point l’Homme a besoin de la Nature pour vivre, et à quel point la Nature, elle, n’a pas besoin de l’Homme pour pérenniser.
Les anciennes civilisations qui se sont obstinées dans ce sens de domination et d’asservissement des forces et puissances de la Nature, se sont toutes effondrées et ont disparues. Il ne reste aujourd’hui que quelques traces de leur existence, dont nous devrions vraiment tirer enseignement.
Les particularités du Suishō Reikidō® Hōshiki
Le Suishō Reikidō® Hōshiki est une voie singulière
Suishō Reikidō® Hōshiki signifie « Méthode ou système de la Voie de l’Énergie Vitale Cosmique et du Cristal« .
Cette singularité permet au Suishō Reikidō® Hōshiki de se distinguer, notamment des approches occidentales du Reikihō qui ont nourri la « polémique Reiki ».
Cela vient du fait que j’ai commencé à construire ce « système » ou cette méthode, dès 1990. Et je l’ai développé sans même connaître le terme « Reiki ». Le terme que j’utilisais alors était celui de « Ki » (« Énergie Vitale »). Je nommais mes pratiques « Ki-jutsu », soit « l’Art du Ki ». C’est en 2014 que j’ai vraiment pris connaissance du mot « Reiki » signifiant « Énergie Vitale Cosmique » ; et que je l’ai adopté.
Ceci, non par engouement de l’effet de mode, mais par « logique métaphysique ». Parce que le Ki, même tellurique (« Chiki »), procède et émane du Reiki, le Ki cosmique ou « du Ciel » (« Tenki »). Toute énergie terrestre vient du Cosmos, puisque la Mère Terre vibre en résonance et accord parfait aux énergies cosmiques. Le mot « Reiki » permet ainsi de nommer cette Énergie Vitale Cosmique. Alors que le terme « Ki », peut tout autant signifier le Reiki, que le « Reiki individualisé ou personnifié », c’est-à-dire « circulant à l’intérieur des corps ».
Le Suishō Reikidō®, bâti et influencé par le Zen, le Yamabushidō et le Budō
Parmi ses singularités, le Suishō Reikidō® Hōshiki suit une logique de transmission propre au Zen, au Yamabushidō (Voie ascétique en montagne) et au Budō (Aikidō et autres arts martiaux japonais).
Le développement du Ki, dépend et découle de la connexion au Reiki. La qualité de cette connexion dépend de la maîtrise des pratiques, telles que la méditation/contemplation, et les pratiques ascétiques. Elles me paraissent absolument fondamentales. C’est pour cette raison qu’elles représentent le socle du Suishō Reikidō® Hōshiki. Et c’est par ces pratiques −entre autres− que j’ai pu développer mes capacités dans cette Voie, et en formaliser les concepts.
Tous ces « Waza » (« techniques ») sont liées les une aux autres. Elles servent parfaitement le développement du Ki personnel et de la force de connexion au Reiki. Et cela est, à mon humble avis, absolument nécessaire pour pratiquer ce qu’on appelle le Reikihō (« méthode d’utilisation consciente du Reiki »).
Le Suishō Reikidō® Hōshiki n’est pas une méthode de pratique mentale ; comme doit l’être toute pratique du Reikihō
C’est justement une divergence majeure entre la plupart des pratiques enseignées en Occident, et celles d’Extrême-Orient.
Le mental est limité et incapable d’œuvrer avec le Reiki. Et l’activité mentale perturbe, voire bloque le plein afflux du Reiki.
Pour se « connecter de façon optimale au Reiki » (« Reiki Tsunagari »), il est nécessaire d’édulcorer grandement et tant que possible l’activité mentale. Tant qu’elle est « là », elle occupe toute la place en nous, notre attention, et ne laisse aucun espace pour « recevoir le Reiki ».
« Être vide » c’est être en mesure de recevoir. « Un bol plein ne peut plus rien recevoir » dit un Koan Zen.
Deshimaru Taisen Sensē disait que « pour recevoir, la main doit s’ouvrir ».
Dans le Reikhō, non seulement la main, mais également le Cœur et la Conscience ont à s’ouvrir, en « s’abandonnant ». Cela génère les états de conscience « Hishiryō » (« penser sans penser/pensée ») et « Mushōtoku » (« être sans but ni esprit de profit »). Seule « Mokunen » (« l’Intention profonde et silencieuse ») chevauche et conduit le flot de Reiki, non pas la volonté mentale.
Lorsqu’on souhaite utiliser le Reiki en conscience, pour le bien des autres, il est primordial de pouvoir d’abord le canaliser et l’utiliser pour soi-même
« On ne peut offrir d’Eau à personne, si on notre carafe est vide ». On ne peut pas donner véritablement aux autres ce qu’on est incapcable de se donner à soi-même.
D’où l’importance capitalee des trois axes majeurs de pratique du Suishō Reikidō®, qui visent à développer nos capacités humaines.
Ces trois axes majeurs sont :
- Misogi : purification, centrage et réalignement bioénergétique. Ce sont des techniques et pratiques d’ascèse pour l’entretien de l’hygiène de vie bioénergétique et holistique.
- Meisō : la méditation ou plutôt contemplation, puisqu’il s’agit de la « méditation sans objet » ou dite aussi « de pleine conscience ». En effet, ce type de méditation n’a rien à voir avec la « méditation » présentée généralement en Occident. Meisō n’est ni de la concentration sur un sujet de pensée ou de réflexion, ni une « méditation guidée » qui relève plus de la sophrologie.
- Jiki Chiryō To Chiryō Hō : techniques de soin en auto-traitement, puis en traitement d’autrui. Ce sont les techniques de « Suishō Reiki Ryōhō » (traitement thérapeutique par le Reiki et les Cristaux »).
Misogi et Meisō permettent l’élévation de notre fréquence vibratoire générale. Ainsi ils élèvent notre niveau de conscience et d’ouverture aux champs de perception en conséquence. Par ces pratiques, la force de concentration de l’Attention est accrue, et donc aussi le pouvoir de l’Intention.
Ces deux axes de pratiques se renforcent l’un l’autre pour unifier Corps, Cœur, Esprit et Âme en une seule Conscience : celle du Soi.
Ils permettent donc à la fois d’augmenter l’afflux de Reiki et les capacités à utiliser consciemment cette Énergie Vitale, tout en se libérant des illusions, limitations et diktats du mental égotique.
Les résultantes de l’immersion totale dans les pratiques authentiques
Les Techniques de soin à soi et à autrui sont juste la mise en application, dans un cadre et un objectif thérapeutique, des capacités acquises par Misogi et Meisō.
Je peux le certifier par ma propre expérience autodidacte et indépendante de toute école ou fédération « de Reiki ». Ce chemin d’expérience m’a amené à fonder de façon fluide et naturelle, le Suishō Reikidō® Hōshiki dès 1992.
Ce qui m’a permis cette réalisation, ce sont les pratiques de l’Art, du Sport Extrême, du Zen, du Yamabushidō et de l’Aikidō. Ces enseignements unifiant corps-cœur-esprit-âme, ont développé mes capacités intuitives, sensorielles et extra-sensorielles, de canalisation/connexion, de recherche, de découverte, d’analyse, de compréhension et de formalisation autodidacte.
Le fait d’être thérapeute (bioénergétique ou autre) résulte simplement du développement qu’on a accompli en soi-même, pour apprendre à s’aider et se soigner soi-même. Cela procède d’une alchimie intérieure, une transmutation dans notre athanor interne. Seulement une fois cela accompli, on peut commencer à s’exercer pour être en mesure de partager ces compétences avec les autres.
D’autres singularités du Suishō Reikidō® Hōshiki
L’utilisation de Cristaux de Quartz est une autre des singularités du Suishō Reikidō®.
Bien qu’elle ne soit pas systématiquement appliquée dans toutes les techniques, l’usage de Cristaux est néanmoins important. Cette pratique se réfère à la Cristallothérapie, que j’ai exposé dans l’article correspondant sur le Blog.
Le Kototama est également intégré au Suishō Reikidō®.
Le Kototama ou Kotodama (littéralement « mot âme » ou « âme du mot ») est une science japonaise très ancienne, axée sur le son, l’utilisation et le pouvoir de la vibration sonore. Il fait partie des enseignements de Ō Sensē Ueshiba Morihei, le maître fondateur de l’Aikidō (« Voie de l’Union ou Harmonisation de l’Énergie -vitale-« ).
Taisō, Zazen, Inzō, entre autres enseignements et pratiques distinguant aussi le Suishō Reikidō®
- Taisō représente la « gymnastique énergétique », ou plutôt les exercices d’activation du Ki, par l’assouplissement et l’échauffement articulaire et musculaire. C’est, par exemple, la pratique d’échauffement en Aikidō : l’Aikidō Taisō.
- Zazen est la posture assise de méditation du Zen.
- Inzō en Japonais signifie « Mudrā » en Sanskrit. Cette pratique intègre des Inzō tels ceux du Jin Shin Jyutsu.
*Où et comment apprendre et pratiquer le Suishō Reikidō® ?
La transmission du Suishō Reikidō® Hōshiki est diffusée sous deux modalités principales :
- les Ateliers pratiques hebdomadaires (en ligne -visio- et donc sans limitation géographique). Ils sont destinés à initier et entretenir une pratique régulière personnelle.
- les Cours, destinés à l’enseignement théorique et pratique du Cursus Suishō Reikidō®, avec validation des niveaux de compétences acquis. Les cours s’adressent à celles et ceux qui souhaitent développer les compétences nécessaires, pour devenir praticien(ne) en thérapie bioénergétique et en accompagnement du développement personnel. Il sont disponibles en ligne -visio- pour les premiers niveaux, et en présentiel pour les suivants. Les cours sont complémentés par les Ateliers pratiques, afin d’avoir suffisamment de pratique personnelle. Les élèves suivant les cours bénéficient de tarifs (très) réduits pour les les Ateliers.
Pour avoir plus d’informations à propos des Ateliers (« Jisshū ») et des Cours (« Kyōshū »), et prendre contact, je t’invite à rejoindre la Page de Présentation des Prestations.
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© Franck Cohendet / Suishō Reikidō® Octobre 2022 – Morlaàs, Pyrénées-Atlantiques, France