L’Équilibre

Temps de lecture de « L’Équilibre » : 19 minutes.

« L’équilibre n’existe pas »

Au sujet de l’équilibre, j’ai entendu, lors d’une interview d’un coach « expert en neurosciences », conférencier et auteur, dire avec certitude et forte conviction que « l’équilibre n’existe pas ». Il faisait alors allusion à l’équilibre lié à nos états physiologiques et neurologiques. Pourtant, il affirmait également pratiquer la « Méditation transcendantale » tous les jours.

Certes, si on considère que « tout est Conscience » et que « tout à une conscience », de nos atomes aux astres, en passant par nos cellules, la Conscience est en mouvement permanent. Puisqu’elle s’aligne sur une des lois cosmiques immuables qu’est l’Impermanence. « Il n’y a de permanence que dans l’impermanence ». Cette impermanence est l’effet même de la loi d’Évolution constante, par le changement, la transmutation et la transformation continus. Ce qui anime cette impermanence, c’est l’Énergie vitale cosmique, cette force de l’Intelligence cosmique.

Cependant, « si l’équilibre n’existe pas », on pourrait demander à ce coach « comment faites-vous pour tenir debout, ou assis ? Ou aussi, comment les astres font-ils pour tenir dans le ciel ? Ou encore, comment la Vie et la manifestation de la Création peuvent-elles être, sans s’atomiser chaotiquement dans l’infini de l’incréé ? Car sans équilibre, cela paraît impossible.

Alors, l’Équilibre des états de conscience existe-t-il ou pas ?

Qu’est-ce que l’équilibre ?

Les Lois cosmiques −dont celle de l’Équilibre fait partie− s’appliquent à tout, dans tous les contextes et toutes les dimensions, des plus abstraits aux plus concrets.

Alors je vais utiliser des métaphores, ou images. Car en appliquant des concepts abstraits à des domaines concrets, ces images nous permettent de comprendre plus pragmatiquement et facilement, par la déduction logique et la réflexion.

Au-delà de la superficialité du visible

Si on considère l’Équilibre seulement en regardant la superficialité physique d’une balance, alors on en décrète que l’équilibre est l’immobilité apparente.

Par contre, si on considère les différentes dimensions liées à la densité physique et matérielle, alors on est conscient que la balance, et son apparente immobilité lorsqu’elle est « en équilibre », ne sont que du mouvement.

Car tous les atomes et vibrations qui constituent la matière « immobile », ne sont que du mouvement, à des vitesses prodigieuses. L’équilibre de la balance à double plateaux est le résultat d’une juste répartition des forces, « masses ou force-poids », opposées de part et d’autre du fléau.

Le sens de « l’équilibre » à différents niveaux de notre Être

Le sens du mot équilibre revêt différentes significations, suivant ce à quoi il se rapporte.

Le corps physique

Pour le corps physique, l’équilibre se traduit par sa stabilité, due au juste positionnement de son centre de gravité.

Le mental

Pour la conscience mentale, on peut concevoir que cette notion d’équilibre signifie notre potentiel à pouvoir concentrer notre attention sur un point fixe ou un sujet, sans se « disperser ».

La Conscience du Soi

L’équilibre de la Conscience de notre Être, ou « Conscience supérieure » ou encore « du Soi », se rapporte à un état de Bien-être et de paix ressenti physiquement, émotionnellement et mentalement. On parle alors de « centrage et d’alignement » de la Conscience, où « l’ancrage » du corps physique −en état de stabilité et de relation à la densité physique et terrestre− lui permet de devenir le réceptacle de cette Conscience.

Cet état d’équilibre holistique ou de toutes les dimensions de notre Être, génère une montée de nos fréquences vibratoires. Simultanément, cela crée une montée de notre niveau de conscience, en passant progressivement de la conscience mentale, à la Conscience du Soi. La Conscience du Soi et de l’Âme sont deux termes désignant la même « Conscience supérieure » (en fréquences vibratoires).

L’équilibre dans le déséquilibre

Qu’est-ce que le mouvement, sinon un déséquilibre ?

Pour avancer d’un pas, nous avons à déplacer notre centre de gravité. On peut donc considérer que ce déplacement génère un déséquilibre, ou une « sortie d’un état de stabilité ».

Seulement, si on reste sur un état de déséquilibre… on en vient à trébucher ou à chuter.

Alors, il est évident que dans le déséquilibre il existe un équilibre « naturel et instinctif », même s’il ne fonctionne pas toujours. Dans le cas où l’équilibre ne se rétablit pas dans le déséquilibre, c’est qu’il n’est pas assez « exercé ». Il manque soit de rapidité, soit de précision.

Cet équilibre qui s’ajuste dans le déséquilibre du mouvement, nous permet par exemple de tenir une trajectoire en vélo, ou même simplement de rester « debout » sans chuter. Ceci, que l’on marche, coure, fasse du snowboard, du surf, du skate, ou tout autre mouvement incluant un déplacement de notre centre de gravité, l’équilibre est à l’œuvre en permanence.

L’équilibre est si sensible et si finement précis que, lorsqu’on nous arrache une dent par exemple, tout notre squelette doit réajuster sa posture pour stabiliser un nouvel équilibre ! Ce sont des choses si naturelles qu’on n’y pense pas, et qu’on même du mal à imaginer. Pourtant, c’est la réalité physique de la perfection de la Création.

L’équilibre n’est donc pas une stabilité fixée dans un immobilisme figé. L’Équilibre est le fait d’une Loi métaphysique agissant en permanence, et à l’action fulgurante.

Le Principe d’Équilibre

L’état ou le point de stabilité

L’Équilibre définit un point de stabilité optimale, car parfaitement établit au centre de forces opposées et complémentaires.

Néanmoins, ce point de stabilité peut exister dans le déséquilibre, que ce déséquilibre soit physiologique, neurologique ou spirituel. Car nous sommes absolument soumis aux lois cosmiques du Vivant. Et une de ces lois est justement celle qui œuvre en permanence à rétablir un état d’équilibre, dans toutes les dimensions d’existence.

Une autre loi accompagne cet ouvrage permanent par le mouvement de l’Évolution. Cette évolution est actée par la Loi d’Impermanence qui fait que tout est en changement permanent, même s’il n’est pas toujours visible instantanément.

Ce mouvement est mis en œuvre en amont de toutes choses manifestées par l’Énergie vitale ; cette force de l’Intelligence de l’Univers qui gère tout atome, molécule, particule, depuis le niveau subatomique. Son pouvoir impacte bien entendu tout ce que l’Univers contient, du microcosme ou macrocosme. Sans cette loi, aucune évolution ne serait possible, la Création ne serait qu’un chaos permanent. Car dans le mouvement évolutif, la Création trouve sa cohérence.

Pour atteindre la densité physique et matérielle, depuis celle de nos cellules, ce changement met parfois un certain temps à être manifeste. Car pour transformer la matière, il faut plus de temps que pour transmuter l’énergie −ce qui se fait dans l’instant−.

Le principe du Changement permanent

La loi d’Impermanence suit des cycles. L’évolution d’un cycle à l’autre s’opère par le Changement.

Les points de rupture du chaos

Ainsi, l’équilibre est parfois amené à des extrêmes antagonistes qu’on appelle chaos. On peut alors considérer que ces situations de chaos ne sont que des périodes d’évolution fulgurantes. Car elles déstructurent violemment l’état d’équilibre d’un état connu, pour le remplacer par un autre état, nouveau et inconnu au moment de cette transition, ou changement d’état.

La transition en est, de fait, plus ou moins inconfortable au niveau personnel, lorsqu’il s’agit de « changement de vie » ou de situation de vie. Car on vit une véritable expérience de rupture avec un état, une relation ou une situation. À ce point de rupture, on se sent souvent perdu et dans la déception.

Transmutation et transformation

Quoi qu’il en soit, le Changement ne se passe pas toujours de cette manière brutale. Il arrive que le passage d’un cycle à l’autre se fasse en douceur. Un ancien cycle se termine progressivement decrescendo, pendant qu’un nouveau cycle prend place crescendo. La fin de l’ancien cycle et le début du nouveau se chevauchent alors.

Dans tous les cas, tout Changement s’opère par effet de transmutation et de transformation. La transmutation change l’état interne de quelque chose ; alors que la transformation change quelque chose en autre chose. La transformation vient donc et succède à la transmutation.

L’enseignement du Tao

Le Tao (« Dō » en Japonais : « la Voie ») nous enseigne −entre autre−, par l’interaction du Yin et du Yang :

• que le mouvement permanent et perpétuel de la Vie est naturel et inhérent à la Vie.
• que les polarités dites « opposées » permettent ce mouvement perpétuel et donc la Vie, tel un moteur électomagnétique composé d’aimants créant un mouvement perpétuel.
• que ces forces opposées sont donc également complémentaires, car bien qu’étant opposées, elles en viennent à s’unir ; ce qui leurs permet d’acter la création ou mouvement évolutif.
• que le seul point de stabilité et d’équilibre parfait est le centre du cercle, soit son centre de gravité et axe de rotation.
• et que ce point de stabilité est le positionnement parfait, dans la répartition des forces opposées et complémentaires.

C’est pour cela que les Anciens désignent le centre comme « point d’immobilité ». Cette immobilité est axiale, mais non figée.

Imaginons-nous sur un tourniquet, figurant le Tao. On comprend alors aisément que plus on s’éloigne du centre pour aller vers la périphérie du cercle, plus la pression de la force centrifuge augmente. En nous éloignant ainsi du centre, nous arrivons à un moment où, la vitesse augmentant et nos forces pour nous tenir baissant, nous sommes éjectés du cercle en rotation.

L’application de ce Principe d’Équilibre à nos états de conscience

Nous avons vu que ce principe d’Équilibre, concerne et impact tout dans la Création. Il s’applique à toutes les dimensions d’existence de notre Être.

En notre Être, que ce soit au niveau physiologique, émotionnel, mental, neurologique ou bioénergétique, tous les effets de cette loi d’Équilibre agissent et même interagissent.

Quitter le Centre et l’alignement

Si nous quittons notre centrage, et l’alignement qu’il produit en nous, nous dispersons notre énergie vitale. En la dispersant, nous dispersons également la force de notre équilibre.

Plus nous nous éloignons du Centre, et plus notre équilibre se précarise, jusqu’à ce qu’il se dissipe. Car nous arrivons tôt ou tard à un point de rupture (l’aspect chaotique), où nous ne pouvons plus maintenir d’équilibre, même précairement.

Les impacts aux niveaux des dimensions physiques de notre Être

En bioénergétique, les « dimensions physiques » de notre Être concernent nos corps physique, éthérique, émotionnel et mental.

Le corps physique et le corps éthérique sont intimement liés, puisque le second est l’aspect ou purement énergétique du premier. C’est pour cette raison que le corps éthérique est la première radiance aurique visible, et la plus fidèle aux formes et dimensions de notre corps physique.

Au niveau du corps physique, nous perdons l’équilibre que nous procure notre centre de gravité. Alors, nous vacillons, trébuchons ou chutons.

Émotionnellement, nous nous laissons déborder et emporter par des émotions qui nous poussent à la réactivité, dont les effets nous font très souvent regretter d’avoir réagi « en non conscience ».

Du point de vue mental, les pensées nous envahissent et nous polluent au niveau bioénergétique. Nous en ressentons ensuite la fatigue par la saturation de l’activité mentale que cela produit. Cela génère toutes sortes de créations mentales ou « formes pensées » négatives.

Conséquences de ces impacts et effets

Ni hasard ni chance, mais que des « rendez-vous » ou « récoltes » de ce que nous semons

Que ce soit par le débordement émotionnel, ou par l’envahissement des ruminations mentales, ces états influencent négativement notre état d’être dans sa totalité.

En conséquence, notre expérience de vie en est affectée. C’est ce qu’on nommait « avant » par « ne pas avoir de chance ».

Cependant, il n’y a ni hasard ni chance dans la vie. Car tout ce que nous vivons n’est que le résultat de ce que nos états d’être produisent, ici et maintenant à chaque instant. Créer le positif en nous génère et attire le positif, créer le négatif génère et attire le négatif.

Les choix d’expérimentation de l’Âme

Bien sûr il y a aussi les choix particuliers d’expériences de vie qu’a fait l’Âme avant de s’incarner qui rentrent en ligne de compte. Il y a également les « dettes karmiques », mais en ces temps d’avènement du Nouveau Paradigme, ces « dettes » ou plutôt « effets de nos causes comportementales » en sont arrivées à leur phase finale de purge et d’épuration.

Mais sur ce point des choix d’expériences de l’Âme, c’est encore et toujours la loi du libre arbitre qui s’applique. Cette loi du libre arbitre ne signifie pas que nous avons le pouvoir de shunter une expérience « destinée ». Bien qu’il y ait toujours une possible négociation avec l’Âme à ce sujet −il suffit d’être connecté au Soi/l’Âme pour cela−.

La loi du libre arbitre signifie « le choix que nous avons de la Manière dont nous allons vivre l’expérience ». Pour l’Âme, il n’y a ni positif ni négatif, du fait qu’elle est liée et vibre en accord parfait avec l’Unité absolue, au-delà de toute dualité. Pour l’Âme, tout n’est qu’expérience et enseignement. Son dessein est de « grandir » en s’élevant en fréquence vibratoire, pour se rapprocher toujours plus de l’Unité absolue.

Rester centré, dans l’acceptation de « ce que nous ne pouvons pas résoudre par nous-même », et de « ce qui Est », est la véritable clé résolutoire. Lorsque nous cessons de lutter et que œuvrons à restaurer notre équilibre de conscience −centrage et alignement−, alors les expériences difficile ne durent pas. Car le but est « d’en faire l’expérience », tout simplement. Nous développons ainsi notre force de résilience et notre patience, sœurs de l’humilité. Lutter contre, c’est renforcer et ancrer l’expérience plus longtemps qu’il n’est nécessaire.

Être cela, simplement en observation détachée de l’expérience, c’est appliquer un des enseignements du Tao, de « Dō », la « Voie du Milieu ». Cela signifie soit rester dans l’immobilité, telle une montagne imperturbable ; soit agir en conscience et en paix −et non pas réagir débordé par les émotions, en perdant notre centrage−.

(Re)Centrage et (ré)alignement

Dans les principes d’unité par l’unification des polarités du Tao, il n’y a en définitive ni équilibre ni déséquilibre… Tout Est Un, et Nous Sommes Un. C’est un des aspects majeur de l’Interdépendance, autre loi cosmique et métaphysique.

Ce qui nous permet ainsi de transcender toute lutte chaotique et toute dispersion de notre énergie vitale, nécessaire au maintien de l’équilibre en nous, c’est d’être « en notre Centre ».

Le (re)centrage et le (ré)alignement sont donc les conditions sine qua non du maintien de l’équilibre de nos états de conscience.

Et cela fonctionne absolument, même dans la traversée des plus terribles tempêtes de la vie. Ce qu’il est nécessaire de développer en nous, ce sont nos capacités à établir et cultiver cet équilibre, dans l’ici et maintenant.

En somme, le principe de l’hormèse et de la phrase de Friedrich Nietzsche¹ corroborent à ce phénomène de renforcement et d’accroissement des nos capacités, et celles du Vivant dans son ensemble. De même, un athlète, pour développer ses performances, développe par l’entraînement ses capacités physiologiques, physiques et mentales, voire spirituelles. Toute amélioration « un peu poussée » des capacités génère un stress. Tout accroissement de performance est généré par un stress sagement dosé. Parcontre, un stress démesuré est contre productif.

Comment se (re)centrer et se (ré)aligner

Pour se centrer et s’aligner, 3 points sont capitaux.

3 points capitaux : posture, respiration et point focal

Les 2 premiers points, « Shisei » et « Kokyū »

1. La posture −et l’attitude ou « vision des choses »− (« Shisei » en Japonais ⋅ 姿勢) : la conscience de notre corps, de son équilibre, et sa stabilité sont directement liés au positionnement de notre centre de gravité, et à l’alignement de notre colonne vertébrale jusqu’au sommet de la tête. Notre centre de gravité se situe son le nombril et correspond au Çakra Sacré (du sacrum) Svādhisthāna. Ce juste positionnement physique en conscience détermine la qualité de l’ancrage de notre corps au sol, et donc la qualité de notre connexion avec la densité physique de la Matière. Il est intéressant de noter qu’en Japonais, le son-mot « Shisei », écrit sous différents Kanji, signifie aussi « calme profond, quiétude parfaite » ; « administration, gouvernement » ; « sincérité, dévotion » ; entre autres sens.
2. La respiration (« Kokyū » ⋅ 呼吸) : être conscient de notre respiration est tout aussi important. La respiration est ce qui fait le lien entre l’Esprit et la Matière. Elle est un pont qui unit le visible et l’invisible. Respirer paisiblement, profondément, assure une oxygénation optimale de notre corps physique, en même temps que cela active l’afflux du Reiki ou Ki en nous.

Le 3^ème point « Shōten »

La facilité d’établir le 3^ème point est à la fois le résultat de la qualité de Shisei et de Kokyū, et à la fois ce qui permet d’établir avec force Shisei et Kokyū. Il est alors absolument essentiel car il permet de maîtriser volontairement les 2 autres premiers points.

Pour cette raison, je l’appelle « Shōten » (焦点 ⋅ « point focal, centre, foyer, essentiel »). Ce 3^ème point est la concentration de l’Attention et donc de l’Intention en conséquence.

Conclusion des 3 points

En conclusion, ces 3 points sont interdépendants, et se renforcent les uns les autres, lorsqu’ils sont dans l’équilibre. En cela, ils manifestent parfaitement la manière dont tous les phénomènes, toutes les créatures et toutes les consciences interagissent en permanence. Cette interaction illustre le fonctionnement de la loi d’Interdépendance dans sa globalité.

Apprendre à maîtriser ces 3 points est ce qui nous donne la maîtrise de l’Équilibre, dans toutes les dimensions de notre Être. C’est pour cette raison qu’ils sont fondamentaux, tant dans la pratique des Arts Martiaux du Budō, le Kung Fu, le Tai Chi Chuan, le Yoga, que dans celle de la Méditation « transcendantale » tel Zazen, et bien sûr celle du Suishō Reikijutsu.

Ces pratiques sont les voies par excellence pour développer notre capacité de concentration, et pouvoir le faire sans aucune tension, ni physique ni mentale.

Des ressources pour la mise en œuvre

En ces temps de « Grande Transition » ou de « Nouveau Paradigme, tout change de manière exponentielle. Que ce soit le lien en conscience que nous avons avec notre corps physique, avec notre Être dans sa totalité, absolument tout transmute et se transforme. Nos perceptions et la manière par laquelle nous pensons et ressentons se modifient.

Parmi les ressources que propose le Suishō Reikidō®, certaines sont généralistes, comme les articles du Blog et ceux de la Newsletter. Le Blog expose des sujets généralement intemporels, dont la densité fait que vous pouvez les lire et les relire à tous moments, sans modération, et toujours en retirer des enseignements. La Newsletter est dédiée aux guidances et conseils de Développement Personnels, en lien à l’actualité énergétique.

D’autres, comme les accompagnements individuels (séances thérapeutiques et de coaching), sont singulièrement adaptées et ajustées à chacun(e). Elles répondent donc parfaitement à vos besoins particuliers, à vos situations et choix de vie, sachant que chacun(e) est unique.

Les services d’accompagnement Suishō Reikidō®

Des accompagnements pertinents sont proposés exclusivement aux Particuliers, entre les séances de Thérapie Bioénergétique et le Coaching de Vie.

Pour les Professionnels et Entreprises, consulter la Page des Services spécifiquement dédiés.

Séances de Thérapie bioénergétique

La Thérapie Bioénergétique n’est pas un accompagnement seulement réservée à ceux qui sont « malades ». Ces séances, en libérant les blocages et entraves à l’Énergie Vitale, restaurent une harmonie générale et optimale de la totalité de l’Être. En même temps, elles permettent un re-centrage et un ré-alignement des Chakras et de la conscience.

Certains souhaitent avoir un feedback ou compte rendu, incluant des guidances et conseils pour maintenir ce recentrage et ce réalignement, afin qu’ils perdurent le plus longtemps possible. D’autres préfèrent « ne rien savoir » et laisser agir le Reiki dans le lâcher-prise total.

L’une comme l’autre de ces options de séances dites thérapeutiques, offrent donc un bon « coup de boost et de coup de pouce » à toutes celles et tous ceux qui se sentent « dépassés par les évènements ». Elles permettent en même temps une ouverture de conscience, et donc une libération des potentialités et des capacités d’auto-développement personnel et spirituel.

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Cet accompagnement est un véritable soutien. Il s’adresse à toutes celles et tous ceux qui souhaitent « acter le changement », en eux-même et dans leur vie, mais qui ne savent pas comment s’y prendre ou s’en sentent incapables.

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Les articles du Blog Suishō Reikidō®

Pour mettre en œuvre cette démarche de centrage et d’alignement, par la ré-union de toutes nos composantes, plusieurs articles de ce Blog peuvent vous apporter des éclairages, et des pratiques utiles. Car le but du Blog est de partager non seulement des informations, mais aussi des enseignements, liés au Suishō Reikidō®.

Parmi ces articles, je vous suggère notamment la (re)lecture de :

• Shinjitsu He Iku Hō, un moyen d’aller de la non-réalité à la réalité : prendre du recul par rapport au « bruit mental » ;
• L’Ouverture de la Voie de Tous les Possibles : créer l’Ouverture qui résulte du recentrage et de l’alignement ;
• L’intensification de l’Être : retour au Point ou Temps Zéro : le titre parle de lui-même ;
• Le Changement, réalité intemporelle de l’Instant : comprendre le processus du Changement pour cheminer en paix ;
• L’Art de Vivre, l’Art comme État d’Être : la finalité de l’Évolution humaine.

1. « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ». La citation “Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts” est souvent attribuée à Friedrich Nietzsche. Dans le contexte de l’hormèse, cette phrase peut être liée à l’idée que le corps humain peut s’adapter et devenir plus résistant suite à un stress aigu et temporaire. Cependant, il est important de noter que cette adaptation n’est pas automatique et que certains types de stress peuvent être néfastes. ↩︎

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