Sans Conscience, pas de Lumière

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"Là où il n'y a pas de Conscience, il n'y a pas de Lumière" : Article du Blog Suishō Reikidō® - Franck Cohendet - https://suishoreikido.org

Là où il n’y a pas de Conscience, il n’y a pas de Lumière.

On a toujours associé l’aspect lumineux d’un être humain, à ses capacités de réflexion : « ce type est une lumière (d’intelligence) ».

Toutefois, la conscience mentale n’est pas la Conscience du Soi, associée à la Lumière de l’Amour.

Le mental ne peut gérer que des actions répétitives, ou bien créer des scénarios d’actes dit intelligents, mais en s’appuyant sur la corrélation et la synthèse de ses connaissances apprises et acquises, fussent-elles intégrées par l’expérience.

En fait, le mental ne peut rien « inventer » de nouveau, puisqu’il construit sur le connu. À la rigueur, il peut créer des variantes de ce connu, mais rien de réellement nouveau et inédit.

Par contre, la Conscience inspirée par le Soi est réceptive d’informations inédites et inconnues. La plupart des scientifiques et inventeurs reconnaissent que les innovations qu’ils ont générées, viennent de cette force de l’inspiration, à laquelle peut parfois nous mener l’imaginaire.

L’activité mentale est-elle véritablement « lumineuse » ?

Qu’est-ce que la Lumière ?

Si on considère que la Lumière est Amour (inconditionnel et véritable), on peut également dire qu’elle est vérité ou authenticité, pure information et pure création. Elle est aussi bénéfique à son, sa ou ses protagoniste(s) qu’à tout le Vivant, par la Loi de Résonance ou d’Interdépendance.

Pour que cette Lumière/Amour et également pure information subtile, puisse se manifester, l’être qui la génère ne peut être que dans l’Ici et Maintenant, l’Instant présent.

Car pour générer cet état de l’ici et maintenant, son épiphyse et son hypophyse doivent être « allumées ». L’épiphyse et l’Hypophyse sont des transformateurs, comme des interfaces captant la Lumière/Information pure, pour la diffuser dans toutes les strates de notre être holistique, ainsi qu’autour de nous, au-delà de la distance et du temps. Elles sont donc en même temps réceptrices et émettrices de hautes fréquences.

Ce focus dans l’instant présent s’établit par la monopolisation de toute la force de concentration de notre attention disponible ; par la concentration de toute la conscience en un point d’intention. Par « force de concentration », j’exprime donc la notion de « force de l’Intention », pas celle de la volonté. L’Intention vient du Cœur, la volonté vient de la tête.

En conséquence, la pleine Présence à soi est indissociable du fait d’être dans l’ici et maintenant.

Le mode robot organique

Les automatismes du comportement

Alors, lorsqu’on « fait des choses » machinalement, de façon automatique, on ne peut pas être dans cet état de pleine présence à soi.

On les accomplit tout en « étant ailleurs » ; en pensant au weekend qu’on a passé, ou à ce qu’on fera après ce moment d’activité. Du coup, le mental « en voyage » dans le passé qui est passé, dépassé et trépassé, ou dans le futur qui n’est pas encore, se désolidarise de la présence à ce qu’on est en train de faire dans l’Instant.

L’énergie que nous insufflons dans ce que nous faisons de la sorte est alors sans Lumière, car sans conscience.

Un robot ferait mieux la même tâche, car il serait alors attentif à tous les écarts de procédure, pour les rectifier ou les signaler. Alors que dans cet état, l’humain est amené à produire ce qu’on appelle des « fautes d’inattention ».

L’extase factice du mentale par les distractions

C’est un comportement insidieux qui s’installe tout en douceur, par la force de l’habitude, tellement il semble confortable.

Car notre mental a besoin d’être sans arrêt distrait pour fuir le silence intérieur.

Ainsi il a l’impression d’exister tout en ayant le contrôle sur la Vie. Pour nourrir continuellement cette dispersion d’énergie contraire à la concentration de notre attention, le monde offre toutes les distractions possibles et inimaginables.

Le silence effraie le mental, car il signifie pour lui la fin de son impression de contrôle, et donc la mort.

L’identification de notre conscience égotique au mental fait que nous avons le réflexe de penser que si notre activité mentale cesse, nous allons « mourir ». C’est alors la peur du silence et de l’inconnu qui surgit. Car aucun contrôle ni simili-contrôle n’est possible sur l’inconnu.

L’état de pleine présence en conscience est le seul état de conscience à pouvoir gérer dans la paix le contexte de l’inconnu.

Stress, peurs et méandres mentaux

De plus, l’activité mentale a toujours des stimuli et motivations cachées, subconscientes, basées sur les pressions internes et externes. Ces pressions sont toutes assujetties aux peurs sous-jacentes, conscientisées ou pas.

Toutes les racines de ces peurs n’ont pas d’existence par elle-même. Elles sont seulement créées et nourries par l’énergie que le mental leur donne, par ses propres croyances. Cesser le dialogue mental et se reconnecter à la totalité de notre être, c’est mettre fin à ces peurs.

Et toutes ces peurs se réfèrent à l’Inconnu, l’incontrôlable du point de vue de la perception mentale.

C’est pour cette raison qu’on dit souvent que la mort est la « mère des peurs ». Car quoi de plus inconnu et de plus incompréhensible pour le mental que « l’après vie » ?

Le mode Brainstorming

Il en est de même lorsqu’on est dans un « faire » essentiellement mental, quelle que soit la force de notre concentration impliquée.

Être en mode « brainstorming » (« remue-méninges, réflexion intense ») −terme galvaudé par les systèmes de management en vogue et retenus encore comme de parfaits standards−, limite strictement les capacités réflexives à la logique synthétique. Car cette logique est basée sur le connu, même si ce connu est subconscient.

Donc, pas d’imaginaire libéré et orienté vers la réceptivité intuitive dans ce cas de figure. C’est, dans le meilleurs des cas, seulement l’imaginaire, surfé par la réflexion mentale qui opère, tout en restant basée sur le calcul et la synthèse de données connues.

Sortir de la prison mentale

Le cheminement de l’Âme dans le « véhicule de matière »

Rester ainsi stigmatisé dans la conscience mentale, que ce soit dans le « faire » ou dans le « non-faire », est similaire à vouloir découvrir le monde en étant enfermé dans une cellule.

« Découvrir le monde » est le propre sens du Chemin de vie, telle est sa fonction. Et en découvrant le monde, à travers l’expérience de vie, nous nous découvrons nous-mêmes.

C’est l’apprentissage véritable et authentique dans le pragmatisme de la Matière ou des dimensions physiques ; c’est celui de de l’Âme qui s’est incarnée.

Plus nous avançons sur ce chemin de découverte et d’expérimentation, et plus nous réalisons à quel point il n’y a aucune séparation entre Esprit et Matière.

Cheminer en être libre

Pour sortir des carcans limitants de la sphère mentale, l’ouverture à l’inspiration est nécessaire

Et pour ouvrir cette porte de l’inspiration, ou de l’intuition visionnaire, nous avons en premier lieu à passer par un temps de lâcher-prise. C’est cet abandon de toute projection et de tout désir qui nous ouvre les portes de la réceptivité et de la perception.

Physiquement et psychiquement, nous ressentons ce pas-sage par l’état de relaxation qu’il produit. Plus nous lâchons prise et plus cette relaxation devient profonde. Tout le monde connais cet état quotidiennement, au moins au moment de s’endormir. Mais lorsqu’on l’atteint et qu’on s’endort, on ne peut recevoir cette information pure qu’est l’inspiration qu’à travers le sommeil, et dans le monde parallèle du rêve, l’Astral.

Par ces portes grandes ouvertes que génère la relaxation, l’inspiration et l’intuition peuvent s’inviter et venir à nous, sans qu’on ait à aller les chercher. Car aller à leur recherche par la volonté, équivaut à les faire fuir. L’énergie débordante et envahissante de notre projection mentale, de notre quête de contrôle, crée une contraction, inverse à l’état de profonde relaxation souhaité.

Le piège de la quête forcenée de contrôle

Une technique de capture rodée

À Bali, une technique très simple est utilisée pour capturer des singes.

Les autochtones font un trou dans une noix de coco, juste de la largeur de la main d’un singe. Ils placent ensuite une banane dans la noix de coco, puis attachent la noix de coco au pied d’un arbre en faisant deux petits trous dans son fond.

Le singe vient et saisit la banane dans la noix de coco. Mais il ne peut plus sortir la main par le trou, tant qu’il tient la banane. Sa main ouverte peut passer par le trou, mais lorsqu’elle est fermée elle ne le peut pas. Ne voulant pas lâcher-prise et s’obstinant à vouloir sortir la banane, il se fait attraper.

Le singe cherche à s’enfuir, mais n’accepte pas de le faire sans emporter la banane avec lui. Pourtant, la forêt tropicale regorge de bananiers comblés de fruits. En lâchant la banane qui le tient prisonnier, il pourrait être libre et trouver rapidement des régimes de bananes entiers.

C’est un fait pertinent et très instructif sur nos agissements, comme toujours les comportements animaux nous les offrent. On dit pourtant, en Occident, « malin comme un singe ». Mais les Extrêmes-Orientaux ont toujours nommé le mental « le singe fou » ; en connaissance de cause…

L’importance vitale du lâcher-prise

De même, lorsque nous nous obstinons et n’acceptons pas de lâcher-prise, et ainsi de perdre le contrôle illusoire que nous avons d’une situation, nous sommes pris à notre propre piège. Nous ne sommes alors rien d’autre que la victime de notre propre obstination mentale.

« Une main fermée ne peut rien recevoir. Pour qu’une main puisse recevoir, elle doit s’ouvrir. »

Deshimaru Taisen, maître Zen

Un autre koan Zen dit : « un bol plein ne peut plus rien recevoir ». La voie du Zen est la Voie du vide ; dans le sens de se vider de l’incessante activité mentale, qui occupe toute la place et monopolise notre attention. Cette activité disperse et dilapide toute notre énergie, sans produire aucune ressource durable ni véritablement profitable.

« Être » ici et maintenant en pleine conscience, n’est pas « penser être », ni « par-aître ». Dans le fait d’être en présence, aucun simili-être ou simulacre ne peut en jouer le rôle. Un rôle est un rôle ; Être c’est Être. Faire n’est pas plus être. Et Exister n’est pas Être non-plus.

Ma notion d’Être est plutôt celle d’être dans l’instant présent par et avec la totalité de soi-même.

Amour VS peurs

Le libre-arbitre

Ainsi, il y a deux façons de cheminer en cette vie incarnée. Soit nous choisissons l’expérience de la peur, soit nous choisissons l’expérience de l’Amour.

Comme la Lumière et l’Ombre ne peuvent pas être au même endroit au même moment, l’Amour ne peut pas subsister avec la peur au même instant en nous-même.

Si on choisit le chemin des peurs, on ne peut ni connaître ni vivre l’Amour ; et inversement.

S’il n’y a pas d’Amour, il ne peut pas y avoir ni Conscience du Soi/de l’Âme, ni Lumière du Soi/de l’Âme.

C’est tout le pouvoir de notre libre-arbitre qui nous permet de choisir ce que nous souhaitons expérimenter, ici et maintenant à chaque instant. Là est notre responsabilité, dans ce que nous semons et dans ce que nous récoltons en conséquence, dans l’expérience de vie.

Choisir en Conscience

Pour pouvoir choisir en conscience et acter notre pouvoir de libre-arbitre avec discernement, nous avons à être pleinement présent à nous-même.

Concentrer notre attention dans l’ici et maintenant, et préserver cet état de Conscience, c’est ce qu’on appelle « l’Éveil ».

Là est le seuil de la vie en Conscience, en Lumière, dans et par l’Amour. Ce seuil nous conduit à des états véritablement extatiques, qui ne peuvent plus connaître à nouveau, ni revivre des états de peurs et de souffrance.

Lorsque nous connaissons le chemin vers cet état de conscience, parce que nous l’avons expérimenté, nous sommes en mesure de le retrouver lorsque nous nous en écartons. Car le retour à des états de plus basses fréquences vibratoires devient alors insupportable.

Ces états d’extase sont le résultat de la Lumière de l’Amour qui transcende toute expérience ; aussi difficile puisse-t-elle apparaître à un regard « extérieur », regardant avec les « yeux de la tête » plutôt qu’avec les « yeux du Cœur ».

Le pouvoir de la Lumière s’instaure en nous quand le Cœur, trône de l’Âme, est pur et illuminé d’Amour.

Ainsi, le Soi/l’Âme reprend son droit originel et la gouvernance de son royaume, dans le temple sacré que nous a donné le Créateur, notre corps et notre être tout entier.

Le positionnement de la Conscience

Les niveaux de conscience

Beaucoup parlent des « niveaux inférieurs et supérieurs de conscience ».

En fait, je préfère dire « niveaux de consciences parallèles ». Car dans l’Absolu de l’Unicité, il n’y a pas de jugement de valeurs, ni infériorité, ni supériorité, dans le sens avec lequel notre mental peut le concevoir. Cependant, il s’agit bien de différences de niveaux de fréquences vibratoires.

Tout être à un droit égalitaire et inaliénable de considération. Il y a seulement des différences, que le discernement peut comprendre comme singularités. Ainsi, nous sommes tous uniques. Et aussi, nous sommes tous « en Chemin », bien que nous ne soyons pas tous au même niveau sur ce Chemin vers l’Unité et l’Unique Réalité.

Alors, dire « dimensions parallèles » au lieu de « dimensions supérieures ou inférieures » me semble plus juste, en regard de la réalité absolue.

Car les niveaux de conscience sont manifestés par des strates, qui s’étagent dans notre Aura. Ces strates sont comme des vases communiquant, elles sont toutes en inter-relation permanente. Un déséquilibre touchant une des strates ou dimensions d’existence, ou encore niveaux de conscience, va se répercuter dans toutes les autres.

L’Être que nous sommes, d’un point de vue holistique, n’est à aucun moment divisé et fragmenté ; excepté lorsque le mental produit cette réalité illusoire par ses croyances.

C’est une des raisons pour lesquelles le mental, dans son réflexe de diviser, fragmenter, séparer et disséquer pour « comprendre » dans son langage binaire, crée la division illusoire qui perturbe la manifestation de l’Unité. De là découlent tous les déséquilibres générant pathologies et psychopathologies, à commencer par le mal-être et les situations de souffrance.

Les mouvements de la conscience

La conscience navigue en permanence entre ces niveaux ou strates dimensionnelles et parallèles. Elle n’est que très rarement en état stationnaire fixe.

Cependant, elle peut tout de même rester stationnaire dans un des ces niveaux, durant plus ou moins longtemps. Cela nécessite une grande maîtrise de notre pouvoir de concentration.

Ce qui détermine le niveau dimensionnel où la conscience va se positionner, c’est uniquement l’état de notre fréquence vibratoire.

Plus il y a de Lumière/Amour en nous, et plus notre fréquence vibratoire est élevée. Le niveau de positionnement de la conscience est élevé en conséquence de façon simultanée, par l’effet de résonance en notre être holistique.

Cela explique le « comment » du fonctionnement de la qualité et de l’élévation de notre niveau de conscience. En même temps, cela justifie l’importance de cultiver le plus constamment possible un taux maximal de Lumière/Amour en nous.

Et comme toute activité, plus nous nous y exerçons en conscience, plus nous améliorons nos performances et les capacités de nos aptitudes.

Conclusion

La limite est donc très fine, entre peur et Amour, entre non-conscience et Lumière.

C’est en connaissance de cela, que l’on s’aperçoit de l’importance capitale que recouvre cette différence, dans notre vie de tous les jours, et dans la qualité de ce que nous vivons tout au long de notre vie.

D’où la priorité d’être attentif(ve) à cette limite, déterminant nos choix en toutes choses. Et aussi, la priorité à cultiver et développer au quotidien nos capacités à entretenir et maîtriser la présence à soi, en état de pleine conscience.

« Passer par le Milieu (entre les états excessifs des extrêmes et des fluctuations émotionnelles et mentales), tout le monde peut le faire.

Mais se maintenir au Milieu, c’est l’œuvre de toute une vie ; on ne cesse de s’améliorer jusqu’à la fin de nos jours ».

Un maître Zen, en référence à « la Voie du Milieu »,

Conscience, Milieu, Lumière, Ici et Maintenant ; ou voie de la souffrance et des peurs : c’est à toi de choisir. Car le choix t’appartient entièrement et il t’est inaliénable.

Une pratique quotidienne simple et rapide

Chaque matin, dès le lever, centre toi en ton Cœur, sans penser, seulement en portant ton attention sur ta respiration, sans en chercher le contrôle. Tu peux placer tes mains sur le nombril, pour faciliter cette perception de la respiration abdominale.

Observe la, jusqu’à ressentir la paix, puis sentir l’élan d’exprimer ta gratitude sans aucun effort.

Appliquer ce moment de lâcher-prise, de centrage, de conscience et de présence à soi dès les premiers instant de l’état de veille, de façon absolument prioritaire, régulièrement, comme un rituel, change toute ta journée.

Et, pour bien clore le cycle temporel de chaque journée, tu peux reproduire cet instant d’intimité avec toi-même, juste avant de te coucher ou de t’endormir.

Les temps sont à cette prise de Conscience

Nous sommes à l’approche de l’éclipse du 8 Avril 2024, puis il y aura des suivantes.

Et de toute manière nous sommes dans les temps de transformation profonde par l’élévation des fréquences vibratoires de tout le Vivant. Notre système solaire traverse une ceinture de photons à la Lumière intense et dorée, l’Anneau d’Alcyone. Et nous en avons pour quelques siècles (environ 2000 ans) pour le franchir.

De plus les vents solaires sont très puissants et la magnétosphère terrestre qui filtre ces vagues de particules de Lumière est en train de décroître. Nous sommes de plus en plus imprégnés de ces émissions radioactives et transmutatoires.

Alors, cette simple pratique s’avère être le strict minimum nécessaire, ou un bon début, pour cultiver la connexion à notre être authentique et à notre hygiène de vie holistique. Cette pratique initie ou appuie notre élan naturel, pour rester dans l’harmonie et en paix, centrés, et alignés aux forces cosmiques.

Car elle nous reconnecte à nous-même, à notre Soi/Âme, et ainsi au Tout, en quelques minutes seulement.

Pour aller plus loin dans ce lien au Soi et vers sa réalisation en cette vie, je t’invite à lire l’article Shinjitsu He Iku Hō.

Bien à toi, dans et par la Paix, la Lumière et l’Amour.

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Merci

© Franck Cohendet Avril 2024 – Nusa Dua, Bukit, Bali, Indonésie

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